Le coloriste Bertran.

Découvrez l’art volontairement confidentiel d’un des plus rare et des plus anciens coloristes contemporains.

Rare scène humoristique figurant ici en raison de son caractère parodique, sujet rarement traité à cette époque et de l’amour porté par le coloriste à la race assine.

Colorisation depuis une photo originale de la fin du 19ème siècle.

Comme toutes les autres, le rendu final de cette photo dépend de la qualité du document original.

JE N’IRAI PAS PLUS LOIN !!!… sauf si c’est Bertran qui conduit !!!

Les chemins de Bertran.

Il aurait souhaité être peintre ou dessinateur mais, à son grand regret, il n’avait aucun don pour les arts graphiques. Par une malice de la vie il est devenu un photographe de sports renommé.

Il a toujours nié et s’en défend toujours être un artiste. Il se veut simplement être un honnête technicien attentif aux progrès techniques.

Il a accueilli avec enthousiasme les premiers logiciels de traitement d’images, les scanners, les appareils photo numérique et les photophones.

Dès les années 1990, il s’essaye à la réparation des injures du temps sur les documents photographiques anciens en commençant par la famille et les amis. Effacer les injures du temps, les pliages accidentels, les manques partiels, les griffures, les salissures, les poussières, les poils, les moisissures, les surcharges d’écriture, les « réparations » au ruban adhésif, les craquelures ; les soulèvements d’émulsion et autres deviennent son quotidien .

Et aussi, sur les photos modernes, les siennes et celles de certains confrères afin d’effacer tous les éléments parasites apportés par la civilisation : les pylônes et les fils électriques, les panneaux de signalisation, les automobiles en stationnement et tout ce qui interdisait de présenter une photo publiable dans la presse.

Presque simultanément l’idée de modifier ou d’améliorer quelques couleurs sur certaines images lui est venu. Il est un des premiers à percevoir les possibilités offertes par la technologie informatique dans la colonisation des images.

Il est, depuis les débuts, le restaurateur et le conservateur de la collection Pons.

(Les dates mentionnées sous les légendes n’indiquent pas celle de la colorisation par Bertran mais la date de prise de vue probable du cliché original).

MAGHREB.

ARTISTES.

MARIAGES.

MÉMÉ ET PÉPÉ.

Qui étaient-ils ? (début 20 ème siècle).

FAMILLES.

A ces époques, les familles se regroupent devant le photographe selon un protocole immuable. Si le patriarche est toujours en vie, il posera au centre avec son épouse. S’il à disparu (victime de guerre ou autre raison), on se regroupera autour de son épouse souvent survivante.

Le dernier ou la dernière née de la famille sera présenté au premier plan porté par ses grands ou arrière grands parents.